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Interview en V.F (2024)
A l’écoute du 4AM paru chez Born Bad, les influences de Bryan’s Magic Tears sont plus que perceptibles.
J'arrive au bout de cette retrospective subjective de mon année rock 2018.
Brexit ? Simple revival du rock teigneux ? Force est de constater que 2018 a été marquée par la colère des musiciens anglais.
Je suis certain que vous l'avez tous connu. Un artiste que vous adorez disparait de la circulation sans prévenir.
Jeudi 10 janvier. Paris, La goutte d’Or. Il est 21h30 lorsque je me fraye un chemin à l’Olympic qui dégueule de monde.
C'est toujours un peu compliqué de confirmer les attentes pour un groupe qui a séduit le public. Chaque nouvel album est un challenge en soi.
Nous avons vraiment eu souvent son nom au bout des lèvres.
Vous vous souvenez tous de la vague rock garage à tendance psyché qui nous venait principalement de l'Ouest avec les bretons de Sapin, Madcaps, Kaviar
C'est de plus en plus compliqué pour un groupe d'arriver à émerger au milieu de la masse.
On le voit trop. On l'entend trop. Il produit trop.
Soyez certains que si nous étions 30 ans en arrière, Marlon Williams et son album "Make Way For Love" aurait placé à minima 5 titres au top des charts
Certains arrivent à créer une musique qui respire l'intelligence.
Soyons honnête, je ne vais rien vous apprendre ni sur Beast ni sur Seb Blanchais, son fondateur, dans les lignes qui suivent.
Elle est bonne, elle est belle, elle est là.
Il fallait attendre l’incontournable label suisse Voodoo mené par Révérend Beatman pour voir poindre à l’horizon un bon groupe de punk « round up » (l

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