1- GO!ZILLA : Sinking in Your Sea (Beast Records)
Ma première chronique pour Casbah, album aboutit et mélodiquement subtil. Un garage acide saupoudré de gimmicks psychédéliques, les deux pieds dans la vase. Bougrement efficace.
2- KURT VILE: Pretty Pimpin’ (Matador Records)
Révélation personnelle de l’année, artiste fertile et généreux qui nous gratifie avec cet album d’un délice folk aérien et planant, plus acoustique que son précédent « Wakin’ on a Pretty Daze » mais avec des morceaux qui s’en rapprochent, comme le groovie morceau-titre « Pretty Pimpin’ » ou la banjo-song « I’m an outlaw », un coup de cœur.
3- RADIOACTIVITY : Silent Kill (Dirtnap Records)
Pour l’amateur de power pop-punk que je suis, ce groupe sonnait comme une évidence. Découvert grâce aux chroniques de Casbah, j’ai grillé l’album comme une bonne clope interminable. Une voix singulière, des riffs simples et mélodieux au possible, des morceaux qui ne dépassent pas les 3 min… Bref, une dose de vitamines à consommer sans ordonnance.
4- FIDLAR : Too (Mom+Pop Music)
Un groupe authentique auquel j’accorde une vénération totale, vu comme un rempart face à toute cette prépotence radiophonique, l’alternative évidente comme ont pu l’être les New York Dolls ou les Stooges avant eux, une flamme, une révolte.
Cet album a concentré toutes mes attentes de l’année, et constitue ma principale déception.
5- ROARING 420’S : You Can’t Get Out Alive (It’s a Gas Records)
Dans la lignée des Allah Las et des Abigails, un garage surf teinté de country aux sonorités sixties. Révélation de cette fin d’année, un album délicieux, vivement recommandé.
Ma première chronique pour Casbah, album aboutit et mélodiquement subtil. Un garage acide saupoudré de gimmicks psychédéliques, les deux pieds dans la vase. Bougrement efficace.
2- KURT VILE: Pretty Pimpin’ (Matador Records)
Révélation personnelle de l’année, artiste fertile et généreux qui nous gratifie avec cet album d’un délice folk aérien et planant, plus acoustique que son précédent « Wakin’ on a Pretty Daze » mais avec des morceaux qui s’en rapprochent, comme le groovie morceau-titre « Pretty Pimpin’ » ou la banjo-song « I’m an outlaw », un coup de cœur.
3- RADIOACTIVITY : Silent Kill (Dirtnap Records)
Pour l’amateur de power pop-punk que je suis, ce groupe sonnait comme une évidence. Découvert grâce aux chroniques de Casbah, j’ai grillé l’album comme une bonne clope interminable. Une voix singulière, des riffs simples et mélodieux au possible, des morceaux qui ne dépassent pas les 3 min… Bref, une dose de vitamines à consommer sans ordonnance.
4- FIDLAR : Too (Mom+Pop Music)
Un groupe authentique auquel j’accorde une vénération totale, vu comme un rempart face à toute cette prépotence radiophonique, l’alternative évidente comme ont pu l’être les New York Dolls ou les Stooges avant eux, une flamme, une révolte.
Cet album a concentré toutes mes attentes de l’année, et constitue ma principale déception.
5- ROARING 420’S : You Can’t Get Out Alive (It’s a Gas Records)
Dans la lignée des Allah Las et des Abigails, un garage surf teinté de country aux sonorités sixties. Révélation de cette fin d’année, un album délicieux, vivement recommandé.