1 // H-Burns (Vietnam) - Night Moves
Mon incontestable numéro 1. Aucun album n’arrive à la cheville de H-Burns cette année. Dès le 27 janvier 2015, Night Moves avait réglé le suspense de ce classement final à la manière d’un PSG : écrasant et sans suspense.
2 // Sufjan Stevens (Asmathic Kitty ) - Carrie & Lowell
Ce disque d'introspection du petit génie new-yorkais m’a touché. Folk épuré et écriture intimiste, l’enfance et les cicatrices de Sufjan sont sincères.
3 // Pow (Castle Face records) - Fight Fire
Relativement discret, le second opus des Californiens qui mêlent synthé-punk et mélodie pop est un must du genre. Leur style est plutôt rare en ce moment et dénote dans ce paysage de garage lo-fi parfois un peu redondant. Fan absolue de Jay Reatard et des Lost Sounds, la découverte de Pow et de cette filiation assumée a su raviver une flamme silencieuse depuis quelques années.
4 // Michael Rault (Burger Records) - Living Daylight
C’est finalement un des moins renommé de la galerie Burger Records qui emporte le pompon. Ce canadien discret à la moustache fine est impeccable. Ses mélodies, sa voix et son phrasé le placent en digne héritier de Marc Bolan et Ty Rex.
5 // IDALG (Teenage Menopause) - Post Dynastie
Ils sont arrivés tardivement sur nos platines, mais sont en train d’y passer les fêtes. Le second opus de groupe canadien place le curseur de sa musique entre BO de western SF, pop punk et ambiante apocalyptique. Addictif.
Mon incontestable numéro 1. Aucun album n’arrive à la cheville de H-Burns cette année. Dès le 27 janvier 2015, Night Moves avait réglé le suspense de ce classement final à la manière d’un PSG : écrasant et sans suspense.
2 // Sufjan Stevens (Asmathic Kitty ) - Carrie & Lowell
Ce disque d'introspection du petit génie new-yorkais m’a touché. Folk épuré et écriture intimiste, l’enfance et les cicatrices de Sufjan sont sincères.
3 // Pow (Castle Face records) - Fight Fire
Relativement discret, le second opus des Californiens qui mêlent synthé-punk et mélodie pop est un must du genre. Leur style est plutôt rare en ce moment et dénote dans ce paysage de garage lo-fi parfois un peu redondant. Fan absolue de Jay Reatard et des Lost Sounds, la découverte de Pow et de cette filiation assumée a su raviver une flamme silencieuse depuis quelques années.
4 // Michael Rault (Burger Records) - Living Daylight
C’est finalement un des moins renommé de la galerie Burger Records qui emporte le pompon. Ce canadien discret à la moustache fine est impeccable. Ses mélodies, sa voix et son phrasé le placent en digne héritier de Marc Bolan et Ty Rex.
5 // IDALG (Teenage Menopause) - Post Dynastie
Ils sont arrivés tardivement sur nos platines, mais sont en train d’y passer les fêtes. Le second opus de groupe canadien place le curseur de sa musique entre BO de western SF, pop punk et ambiante apocalyptique. Addictif.