L’euro-lève // par Vico - Photo Adèle Colonna Cesari
La Relève #11 | Bus Palladium – Paris | 9 juin 2016
La Relève a mis ses plus beaux habits ce soir avec rien de moins que 4 groupes. Ce n'est pas vraiment évident de raconter la prestation de 4 groupes. Il faut recourir à des moyens mnémotechniques. Les mettre dans des cases. On dit que chacun est un Beatles ? Ou bien un Dalton ? Ou alors un des membres du fameux "carré magique", les 4 fantastiques du football français des 80's. A la veille de l'euro, on nous le pardonnera…
On dit donc des Levitation Free qui assurent l’échauffement qu’ils sont nos « Jean Tigana ». Une escouade sérieuse et sympathique qui distille une demi-douzaine d’envolées apéritives bien maîtrisées.
On se fait ensuite surprendre par les chevelus de Spa Massage. Ces sales gosses à la « Luis Fernandez » nous prennent à la gorge d’entrée de jeu à coup de fuzz et de déhanchés stoogiens. Energie et charisme, récupération et relance. La mayonnaise prend sérieusement malgré une formation récemment remaniée… Trophée du meilleur espoir !
La caution technique à la « Alain Giresse » revient aux Butterscotch Hawaiian dont on fête ce soir l’EP “Cosmic Dust”. Difficile de jauger ce psyché-folk tant les invités s’accumulent au fil d’un set lumineux et illuminé qui confine même par instant à la pyrotechnie.
Le stade s’est nettement vidé lorsque le trio The Greyguts vient conclure la partie. Beaucoup de talent et d’efficacité malheureusement au détriment de l’émotion. Les “Michel Platini” de la soirée.
L’arbitre Roger de Lille Le pape du cool remercie Casbah et donne le coup de sifflet. Un parcours sans faute pour l’équipe de choc qui organisait cette édition numéro… 11 !
La Relève a mis ses plus beaux habits ce soir avec rien de moins que 4 groupes. Ce n'est pas vraiment évident de raconter la prestation de 4 groupes. Il faut recourir à des moyens mnémotechniques. Les mettre dans des cases. On dit que chacun est un Beatles ? Ou bien un Dalton ? Ou alors un des membres du fameux "carré magique", les 4 fantastiques du football français des 80's. A la veille de l'euro, on nous le pardonnera…
On dit donc des Levitation Free qui assurent l’échauffement qu’ils sont nos « Jean Tigana ». Une escouade sérieuse et sympathique qui distille une demi-douzaine d’envolées apéritives bien maîtrisées.
On se fait ensuite surprendre par les chevelus de Spa Massage. Ces sales gosses à la « Luis Fernandez » nous prennent à la gorge d’entrée de jeu à coup de fuzz et de déhanchés stoogiens. Energie et charisme, récupération et relance. La mayonnaise prend sérieusement malgré une formation récemment remaniée… Trophée du meilleur espoir !
La caution technique à la « Alain Giresse » revient aux Butterscotch Hawaiian dont on fête ce soir l’EP “Cosmic Dust”. Difficile de jauger ce psyché-folk tant les invités s’accumulent au fil d’un set lumineux et illuminé qui confine même par instant à la pyrotechnie.
Le stade s’est nettement vidé lorsque le trio The Greyguts vient conclure la partie. Beaucoup de talent et d’efficacité malheureusement au détriment de l’émotion. Les “Michel Platini” de la soirée.
L’arbitre Roger de Lille Le pape du cool remercie Casbah et donne le coup de sifflet. Un parcours sans faute pour l’équipe de choc qui organisait cette édition numéro… 11 !