Quand mon coeur s'arrête // par les soeur Clac !
Encore une nuit agitée, comme une embarcation prise en pleine tempête, et nous voilà propulsées à l'Espace B.
Calypso ondoie et nous suivons le courant un peu alternatif, finissant tout de même par nous envoyer en l'air. On est plus que jamais en bonne compagnie avec Françoise Dorléac et une muse nouvelle vague, accompagnées de trois musiciens faisant de ce groupe, un modèle de jeunes gens modernes. À vrai dire, c'est ainsi que nous pourrions définir le résultat sur scène, un mélange entre Demy & Rhomer, avec une pointe des B-52's. Cocktail (d)étonnant. C'est à l'ombre d'une poésie sonore savamment orchestrée que l' incroyable "Fauve" se glisse comme un phare dans la nuit.
Un concert en pointillé, hétéroclite, c'est là notre seule certitude. C'est sans filet qu' ils ont pris tous les risques, se fichant éperdument du qu'en-diras-t'on. Leur seul crédo est de ne rien s'empêcher, créant sans cesse la surprise pour éviter l'ennui. Si l'on peut dire, c'est là le vrai tour de force de Calypso.
Et puis Froth. Tout pourrait s'arrêter là parce que de battre notre cœur s'est arrêté.
Non ce n'était pas la bière ... qui avait le même goût que d'habitude, ou l'écume des foules, ce soir-là encore. Mais non... pas de méprise. C'était bien ces californiens énergiques et suaves, qui nous ont fait entrer dans leur transe, dont nous ne voulions plus sortir. Sans doute que le batteur aux faux-airs de Warhol n'y est pas pour rien, nous prêtant quelque instants sa place au soleil. Quarante cinq trop petites minutes partagées avec eux étaient bien courtes et nos cœurs galvanisés réclament encore de leur pop-rock-psyché planante sans nulle autre pareille.
Maintenant, tu le sais,
Nul n'est censé ignorer le Rock.
Calypso ondoie et nous suivons le courant un peu alternatif, finissant tout de même par nous envoyer en l'air. On est plus que jamais en bonne compagnie avec Françoise Dorléac et une muse nouvelle vague, accompagnées de trois musiciens faisant de ce groupe, un modèle de jeunes gens modernes. À vrai dire, c'est ainsi que nous pourrions définir le résultat sur scène, un mélange entre Demy & Rhomer, avec une pointe des B-52's. Cocktail (d)étonnant. C'est à l'ombre d'une poésie sonore savamment orchestrée que l' incroyable "Fauve" se glisse comme un phare dans la nuit.
Un concert en pointillé, hétéroclite, c'est là notre seule certitude. C'est sans filet qu' ils ont pris tous les risques, se fichant éperdument du qu'en-diras-t'on. Leur seul crédo est de ne rien s'empêcher, créant sans cesse la surprise pour éviter l'ennui. Si l'on peut dire, c'est là le vrai tour de force de Calypso.
Et puis Froth. Tout pourrait s'arrêter là parce que de battre notre cœur s'est arrêté.
Non ce n'était pas la bière ... qui avait le même goût que d'habitude, ou l'écume des foules, ce soir-là encore. Mais non... pas de méprise. C'était bien ces californiens énergiques et suaves, qui nous ont fait entrer dans leur transe, dont nous ne voulions plus sortir. Sans doute que le batteur aux faux-airs de Warhol n'y est pas pour rien, nous prêtant quelque instants sa place au soleil. Quarante cinq trop petites minutes partagées avec eux étaient bien courtes et nos cœurs galvanisés réclament encore de leur pop-rock-psyché planante sans nulle autre pareille.
Maintenant, tu le sais,
Nul n'est censé ignorer le Rock.