« Freaky Loud Things fait encore les choses en grand ! » // par Super Poncho
Freaky Loud Things Party | Mécanique Ondulatoire – Paris | 28 avril 2016
Mercredi, 25 ans de mon meilleur pote. Une sorte de course de haies de traquenards. Jeudi, Freaky Loud Things. C'est avec mon cerveau encore consigné en enfer que je me pointe à la Méca. Une chose à dire : y'a pas mieux pour se remettre d'une gueule de bois. La rédemption en chanson. Trois groupes : Bungalow Ninja, Abram et Dragster.
Un peu de Dr Chan + un peu de Thee Maximators = Bungalow Ninja. Tout premier concert de l'histoire de l'univers pour ces ninjas en caravane ! Attention, c'est le mobylhome de luxe, sept chambres, WC et salle de bains séparés ! Des compos hyper en place pour un premier concert. Jetez un œil et surtout une oreille à leur bandcamp, du tout tout bon. De l'amour, des troubles mentaux, la vie quoi ! A l'instant où j'écris, les titres Too Drunk et Come down too passent en boucle dans mes oreilles meurtries ; vous comprendrez leur état un peu plus tard...
En deuxième position sur la grille de départ, Abram. « Ça c'est ma petite découverte » me glisse l'organisateur de la soirée. Des Rennais découvrant pour la première fois Paris. C'est tout mignon, on aurait presque envie d'envoyer une carte postale à leurs parents. Sauf qu'en fait les parents, c'est eux. Les lettres, on se les prend en pleine tronche. Un chantier pas possible. Les instruments ne rugissent pas, ils brament... Des fois, les actes valent bien plus que les mots, Abraham Lincoln. Ce concert, c'était ça, une démonstration de force d'un groupe encore inconnu et qui risque de faire très très mal. Une petite description. Des longues compos de 6-7 minutes, beaucoup de rythme(s), un batteur qui tape comme un sourd et surtout une puissance scénique folle ! Un pogo, un slam et un public en folie qui demande un rappel ! Cette basse sur le rappel, le batteur en perd ses lunettes ! HAAAAAAAAAAAAAA ! Je peux vous dire que c'est pas une carte postale qu'ils vont ramener en Bretagne, mais un contrat en or massif !
Quand un des mecs des Kaviar Special te dit à propos du batteur de Dragster : « Il cogne comme un ours », tu peux t'attendre à tout. J'ai même cru entendre le mot « déforestation » juste avant le début du set. Dragster, ils sont pas là pour coller des gommettes. C'est dur, incisif, constamment au bord de la rupture mais jamais en dehors des clous. Les deux loustiques signés chez Frantic City ont fait honneur à leur réputation avec un set progressif fini dans un déluge de fer !
Résultats des courses. Un podium, tous sur la première marche. Encore une super soirée Freaky Loud Things. Bon, j'ai retrouvé mon cerveau mais paumé mes oreilles ! Quelques choses me dit que je risque de les retrouver le 24 juin au Point FMR pour les 1 an de Freaky Loud Things avec Johnny Mafia, Dr Chan et Escobar !
Mercredi, 25 ans de mon meilleur pote. Une sorte de course de haies de traquenards. Jeudi, Freaky Loud Things. C'est avec mon cerveau encore consigné en enfer que je me pointe à la Méca. Une chose à dire : y'a pas mieux pour se remettre d'une gueule de bois. La rédemption en chanson. Trois groupes : Bungalow Ninja, Abram et Dragster.
Un peu de Dr Chan + un peu de Thee Maximators = Bungalow Ninja. Tout premier concert de l'histoire de l'univers pour ces ninjas en caravane ! Attention, c'est le mobylhome de luxe, sept chambres, WC et salle de bains séparés ! Des compos hyper en place pour un premier concert. Jetez un œil et surtout une oreille à leur bandcamp, du tout tout bon. De l'amour, des troubles mentaux, la vie quoi ! A l'instant où j'écris, les titres Too Drunk et Come down too passent en boucle dans mes oreilles meurtries ; vous comprendrez leur état un peu plus tard...
En deuxième position sur la grille de départ, Abram. « Ça c'est ma petite découverte » me glisse l'organisateur de la soirée. Des Rennais découvrant pour la première fois Paris. C'est tout mignon, on aurait presque envie d'envoyer une carte postale à leurs parents. Sauf qu'en fait les parents, c'est eux. Les lettres, on se les prend en pleine tronche. Un chantier pas possible. Les instruments ne rugissent pas, ils brament... Des fois, les actes valent bien plus que les mots, Abraham Lincoln. Ce concert, c'était ça, une démonstration de force d'un groupe encore inconnu et qui risque de faire très très mal. Une petite description. Des longues compos de 6-7 minutes, beaucoup de rythme(s), un batteur qui tape comme un sourd et surtout une puissance scénique folle ! Un pogo, un slam et un public en folie qui demande un rappel ! Cette basse sur le rappel, le batteur en perd ses lunettes ! HAAAAAAAAAAAAAA ! Je peux vous dire que c'est pas une carte postale qu'ils vont ramener en Bretagne, mais un contrat en or massif !
Quand un des mecs des Kaviar Special te dit à propos du batteur de Dragster : « Il cogne comme un ours », tu peux t'attendre à tout. J'ai même cru entendre le mot « déforestation » juste avant le début du set. Dragster, ils sont pas là pour coller des gommettes. C'est dur, incisif, constamment au bord de la rupture mais jamais en dehors des clous. Les deux loustiques signés chez Frantic City ont fait honneur à leur réputation avec un set progressif fini dans un déluge de fer !
Résultats des courses. Un podium, tous sur la première marche. Encore une super soirée Freaky Loud Things. Bon, j'ai retrouvé mon cerveau mais paumé mes oreilles ! Quelques choses me dit que je risque de les retrouver le 24 juin au Point FMR pour les 1 an de Freaky Loud Things avec Johnny Mafia, Dr Chan et Escobar !