Cosmetics (Sycamore Records 2015) // Par Miguelito Lovelace
« Si tu veux être intelligent lis un livre, si tu veux passer un bon moment viens voir les Diamond Rugs » ; c’est pas moi qui le dit, ce sont eux !
Le deal est très clairement posé dès le début, pas de prise de tête, que du fun et du bon temps. Il faut dire que les DR prennent le problème par l’autre sens : à l’origine c’est ce que l’on appelle un super groupe. Et c’est quoi un super groupe ? Contrairement à ce qui est écrit sur l’étiquette, ce n’est pas forcément un groupe génial mais plutôt un rassemblement de types qui ont fait leurs preuves voire plus dans d’autres groupes, et qui se rassemblent pour faire un nouveau groupe. CQFD. Ici on a donc des membres de : Black Lips, Dead Confederate, Six Finger Satelitte, Deer Tick et Los Lobos.
Dans l’inconscient collectif, le super groupe est généralement merdique et pompier. Dans l’histoire on a eu Cream, avec Clapton et consorts, et d’autres se sont lancés dans la même voie pour des résultats souvent au mieux chiants. A croire que quand on a plus d’idées, on va trouver des poteaux célèbres, qui ont encore moins d’idées, en espérant que comme par miracle cette rencontre entre génies va pondre de nouvelles idées… Bref ça marche pas.
Sauf que dans le cas présent, comme pour les Me First & The Gimme Gimmies, le principe est de se retrouver pour s’amuser. Et ce seul mot change tout ! On le sent bien qu’ils ont envie de prendre du bon temps, de faire tourner les morceaux et surtout de se retrouver sur scène. On sent aussi qu’ils se sont bien amusés dans leur studio de Nashville, avec des clins d’œil à toute l’histoire de la musique US. Le résultat est donc du bon rock’n’roll avec quelques originalités comme le saxophone sur le premier morceau, Voodoo Doll, qui vient répondre au petit farfisa tout mignon. Pari tenu donc, sans prétentions et durant les onze pistes du disque, ce qui est plutôt rare et doit être souligné !
Au final, pas le disque de l’année, plutôt plus consensuel que le précédent, mais ce n’est pas une raison pour ne pas l’écouter.
Le deal est très clairement posé dès le début, pas de prise de tête, que du fun et du bon temps. Il faut dire que les DR prennent le problème par l’autre sens : à l’origine c’est ce que l’on appelle un super groupe. Et c’est quoi un super groupe ? Contrairement à ce qui est écrit sur l’étiquette, ce n’est pas forcément un groupe génial mais plutôt un rassemblement de types qui ont fait leurs preuves voire plus dans d’autres groupes, et qui se rassemblent pour faire un nouveau groupe. CQFD. Ici on a donc des membres de : Black Lips, Dead Confederate, Six Finger Satelitte, Deer Tick et Los Lobos.
Dans l’inconscient collectif, le super groupe est généralement merdique et pompier. Dans l’histoire on a eu Cream, avec Clapton et consorts, et d’autres se sont lancés dans la même voie pour des résultats souvent au mieux chiants. A croire que quand on a plus d’idées, on va trouver des poteaux célèbres, qui ont encore moins d’idées, en espérant que comme par miracle cette rencontre entre génies va pondre de nouvelles idées… Bref ça marche pas.
Sauf que dans le cas présent, comme pour les Me First & The Gimme Gimmies, le principe est de se retrouver pour s’amuser. Et ce seul mot change tout ! On le sent bien qu’ils ont envie de prendre du bon temps, de faire tourner les morceaux et surtout de se retrouver sur scène. On sent aussi qu’ils se sont bien amusés dans leur studio de Nashville, avec des clins d’œil à toute l’histoire de la musique US. Le résultat est donc du bon rock’n’roll avec quelques originalités comme le saxophone sur le premier morceau, Voodoo Doll, qui vient répondre au petit farfisa tout mignon. Pari tenu donc, sans prétentions et durant les onze pistes du disque, ce qui est plutôt rare et doit être souligné !
Au final, pas le disque de l’année, plutôt plus consensuel que le précédent, mais ce n’est pas une raison pour ne pas l’écouter.