Les incendies de Laure-Anne Mathilde Cossu
Voilà,
Ca faisait longtemps que je ne m’étais pas trouvée face à une page blanche et que je n’avais pas eu envie d’écrire mots après mots sur la musique, cette musique qui maintenant me permet de payer mon loyer et mes factures.
Il en aura fallu, du temps.
J’ai usé mes oreilles sur des vieilleries, découvert des pépites d’ici, d’ailleurs et de tout âges, et peut être qu’en fait, elle est là toute l’histoire. Ce ne sont pas de grands mots sur tel(s) album(s) ou tel(s) artiste(s), parce que l’actualité ou la promo veut que, et qu’il faut qu’on.
Parlons, tout simplement ou mieux encore : écoutons.
Exercice de style peut être facile, du moins, agréable, voici donc en 5 points, une sorte de journal intime musical qui fait battre la cadence aux sentiments. Un mémo pour plus tard, dans 10 ans, quand je me regarderais dans un miroir en me souvenant.
Mes 5 derniers incendies
Arthur Russell
Il faut dire que j’ai de la chance, je bosse dans un bistro et j’y ai un patron formidable qui ramène des disques pour nourrir la platine vinyle nichée entre les verres et les théières. Et chaque semaine, je découvre toujours quelque chose, du petit mec timide qui raconte sa vie avec un accent de Caroline du Nord au classiques du jazz – on ne se lasse jamais d’apprendre - en passant de la musique brésilienne. Bref. Et donc, cette semaine n’échappant pas à la règle, claque ultime : Arthur Russell, un génie ignoré de son vivant, mort du sida en 1992, dont je ne dirais rien de plus : https://www.youtube.com/watch?v=1y7G1Jig7Jk
Krokodil
Hasard heureux. Je suis rentré à l’instant précis où Kévin posait le vinyle d’un vieux groupe suisse de kraut psyché des années 70 sur sa platine. Comme quoi, rendre visite à son disquaire de temps à autre…
https://www.youtube.com/watch?v=1829gDQZoxM
Satellite Jockey
Je dois avouer que c’est ici plutôt le souvenir d’avoir entendu quelques bonnes pièces de l’album à venir de ce groupe lyonnais qui me reste en tête : je n’arrive pas à passer à autre chose, c’est comme le retour des beaux jours, je l’attends, je le guette, je ne pense qu’à ca.
https://www.youtube.com/watch?v=H9ubquwpuXk
Mammane Sani
Cette fois, il aura fallu un peu insister pour que je m’attarde sur cet incroyable musicien nigérian, que je suis apparemment la dernière à découvrir – mais passons sur ce point. Si vous êtes aussi dans l’gnorance, rattrapez vous vite.
Bandcamp
Pour finir, comme la cerise sur le gâteau, ce petit truc indigeste mais incontournable, je ne me lasse pas, sans l’entendre pourtant, de chantonner « Chanson n1 au paradis », reprise forte et dingue d’un morceau de Sparks par Julien Gasc, ci-dessous :
Ca faisait longtemps que je ne m’étais pas trouvée face à une page blanche et que je n’avais pas eu envie d’écrire mots après mots sur la musique, cette musique qui maintenant me permet de payer mon loyer et mes factures.
Il en aura fallu, du temps.
J’ai usé mes oreilles sur des vieilleries, découvert des pépites d’ici, d’ailleurs et de tout âges, et peut être qu’en fait, elle est là toute l’histoire. Ce ne sont pas de grands mots sur tel(s) album(s) ou tel(s) artiste(s), parce que l’actualité ou la promo veut que, et qu’il faut qu’on.
Parlons, tout simplement ou mieux encore : écoutons.
Exercice de style peut être facile, du moins, agréable, voici donc en 5 points, une sorte de journal intime musical qui fait battre la cadence aux sentiments. Un mémo pour plus tard, dans 10 ans, quand je me regarderais dans un miroir en me souvenant.
Mes 5 derniers incendies
Arthur Russell
Il faut dire que j’ai de la chance, je bosse dans un bistro et j’y ai un patron formidable qui ramène des disques pour nourrir la platine vinyle nichée entre les verres et les théières. Et chaque semaine, je découvre toujours quelque chose, du petit mec timide qui raconte sa vie avec un accent de Caroline du Nord au classiques du jazz – on ne se lasse jamais d’apprendre - en passant de la musique brésilienne. Bref. Et donc, cette semaine n’échappant pas à la règle, claque ultime : Arthur Russell, un génie ignoré de son vivant, mort du sida en 1992, dont je ne dirais rien de plus : https://www.youtube.com/watch?v=1y7G1Jig7Jk
Krokodil
Hasard heureux. Je suis rentré à l’instant précis où Kévin posait le vinyle d’un vieux groupe suisse de kraut psyché des années 70 sur sa platine. Comme quoi, rendre visite à son disquaire de temps à autre…
https://www.youtube.com/watch?v=1829gDQZoxM
Satellite Jockey
Je dois avouer que c’est ici plutôt le souvenir d’avoir entendu quelques bonnes pièces de l’album à venir de ce groupe lyonnais qui me reste en tête : je n’arrive pas à passer à autre chose, c’est comme le retour des beaux jours, je l’attends, je le guette, je ne pense qu’à ca.
https://www.youtube.com/watch?v=H9ubquwpuXk
Mammane Sani
Cette fois, il aura fallu un peu insister pour que je m’attarde sur cet incroyable musicien nigérian, que je suis apparemment la dernière à découvrir – mais passons sur ce point. Si vous êtes aussi dans l’gnorance, rattrapez vous vite.
Bandcamp
Pour finir, comme la cerise sur le gâteau, ce petit truc indigeste mais incontournable, je ne me lasse pas, sans l’entendre pourtant, de chantonner « Chanson n1 au paradis », reprise forte et dingue d’un morceau de Sparks par Julien Gasc, ci-dessous :