Free Drinks In Hell (Slow Death Records) // B.T
Profitant de la présence de Stéphane (leur chanteur) à la bourse aux disques de Varces j'ai acheté les deux 12'' de son groupe (l'autre étant un split avec Unlogestic).
La présentation est méchamment chiadée : vise la pochette, (le verso est à l'avenant) et il y a un insert sous la forme d'un livret 24 pages A6 bien dans la tradition Rad Party avec photos, textes des chansons et de 'présentation' du disque. En plus, c'est pressé en 45 tours (pour la dynamique) sur un 12 pouces en vinyle gris clair. Ça faisait une chiée de temps que je n'ai pas réécouté de Hard Core, la période où j'ai été fan de ce(s) genre(s) / école(s) ayant été intense mais finalement limité à 7 / 8 ans, car je reste toujours un fan de mélodies...
1ère écoute de la face A : ouai ! Bon ! Bien ! Bien bon tout ça ! Face B : le titre d'ouverture m'a fait rentrer dedans de plein pied. Résultat une fois le disque terminé, je l'ai rejoué immédiatement de son début ce qui ne m'arrive quasi jamais ! Mais là ça a été comme un envoutement, je me suis senti immergé dans cet univers connu mais pas revisité depuis longtemps. Ce qui me plait beaucoup dans cet album c'est qu'il renoue un peu avec la 'tradition' de la 1ère vague HC, genre Germs / Circle Jerks dans l'esprit et en même temps on sent bien qu'il y a dans ce groupe quelques gros fans de la scène Pop Core anglaise du tournant des 80's / early 90. Cette collision donne toute sa saveur à la musique de Crippled Old Farts.
Ça joue vite, mais ce n'est pas la course contre la montre, ça avoine, ça pose un contre temps de bon aloi ici ou là et il y a assez de 'musicalités' pour rendre les 14 titres mémorables, avec un bon goût de : « Patron : la même ! »
La présentation est méchamment chiadée : vise la pochette, (le verso est à l'avenant) et il y a un insert sous la forme d'un livret 24 pages A6 bien dans la tradition Rad Party avec photos, textes des chansons et de 'présentation' du disque. En plus, c'est pressé en 45 tours (pour la dynamique) sur un 12 pouces en vinyle gris clair. Ça faisait une chiée de temps que je n'ai pas réécouté de Hard Core, la période où j'ai été fan de ce(s) genre(s) / école(s) ayant été intense mais finalement limité à 7 / 8 ans, car je reste toujours un fan de mélodies...
1ère écoute de la face A : ouai ! Bon ! Bien ! Bien bon tout ça ! Face B : le titre d'ouverture m'a fait rentrer dedans de plein pied. Résultat une fois le disque terminé, je l'ai rejoué immédiatement de son début ce qui ne m'arrive quasi jamais ! Mais là ça a été comme un envoutement, je me suis senti immergé dans cet univers connu mais pas revisité depuis longtemps. Ce qui me plait beaucoup dans cet album c'est qu'il renoue un peu avec la 'tradition' de la 1ère vague HC, genre Germs / Circle Jerks dans l'esprit et en même temps on sent bien qu'il y a dans ce groupe quelques gros fans de la scène Pop Core anglaise du tournant des 80's / early 90. Cette collision donne toute sa saveur à la musique de Crippled Old Farts.
Ça joue vite, mais ce n'est pas la course contre la montre, ça avoine, ça pose un contre temps de bon aloi ici ou là et il y a assez de 'musicalités' pour rendre les 14 titres mémorables, avec un bon goût de : « Patron : la même ! »