3/10 : L'indigestion de Ty Segall // Par Julien Marty
On le voit trop. On l'entend trop. Il produit trop. Un peu à l'image des King Gizzard ou de Thee Oh Sees (qui ont clairement réduit le rythme), Ty Segall sature l'espace. 3 albums en solo (Freedom's Goblins, Fudge Sandwich, Orange Rainbow) , 3 albums avec 3 groupes différents Coggs, Ty Segall with White Fence, Charlie and the Moonheart ou dernièrement The C.I.A. On oublie pas la multitude de participations à toute une flopée de groupes garages pour lesquels il tient le rôle de producteur (Flat Worms, Orc, The Birth Defect) ou de musicien additionnel (Feels, King Tuff, Lars Findberg..).
Cette liste vous fatigue ? Avant même d'avoir écouté, je suis lassé. La rareté a du bon.
Bien évidement je n'évoque pas les 45t que Ty Segall pond tout au long de l'année ainsi que la participation à des tribute. Ty Segall est de tous les combats et cela pose plusieurs problèmes.
Le son Ty Segall commence à être détectable et manque clairement de renouvellement, même si j'adore les titres glams qui le rapprochent de Bowie ou Marc Bolan (Ty Rex), je ne supporte plus les longues plages sonores bruyantes et expérimentales.
Ty Segall semble avoir plusieurs types d'album et de label. En général, l'album le plus produit avec un son correct et accessible sort sur Drag City en vinyle ensuite les albums plus garages/LoFi sont soit chez Goner ou In The Red Records en format vinyle et enfin on aura droit à une sortie cassette sur son label perso GODS! Records de ces faces B pour la plupart inaudibles avec un son tout petit et dégueulasse. On ne sait jamais trop sur quel Ty Segall on va tomber mais il y a moyen d'être sacrément déçu.
On ne peut plus suivre le rythme, tous les 15 jours nous avons droit à un nouveau titre du californien plus ou moins bien, il sature la toile. Je ne peux pas vous dire si j’aime car je n'ai pas pris le temps d'écouter. Son dernier jouet s'appelle donc The CIA dans lequel officie son épouse Dénée Segall et c'est In The Red qui s'occupe de le sortir. Est ce que c’est bien ? A vous de juger.
Cette liste vous fatigue ? Avant même d'avoir écouté, je suis lassé. La rareté a du bon.
Bien évidement je n'évoque pas les 45t que Ty Segall pond tout au long de l'année ainsi que la participation à des tribute. Ty Segall est de tous les combats et cela pose plusieurs problèmes.
Le son Ty Segall commence à être détectable et manque clairement de renouvellement, même si j'adore les titres glams qui le rapprochent de Bowie ou Marc Bolan (Ty Rex), je ne supporte plus les longues plages sonores bruyantes et expérimentales.
Ty Segall semble avoir plusieurs types d'album et de label. En général, l'album le plus produit avec un son correct et accessible sort sur Drag City en vinyle ensuite les albums plus garages/LoFi sont soit chez Goner ou In The Red Records en format vinyle et enfin on aura droit à une sortie cassette sur son label perso GODS! Records de ces faces B pour la plupart inaudibles avec un son tout petit et dégueulasse. On ne sait jamais trop sur quel Ty Segall on va tomber mais il y a moyen d'être sacrément déçu.
On ne peut plus suivre le rythme, tous les 15 jours nous avons droit à un nouveau titre du californien plus ou moins bien, il sature la toile. Je ne peux pas vous dire si j’aime car je n'ai pas pris le temps d'écouter. Son dernier jouet s'appelle donc The CIA dans lequel officie son épouse Dénée Segall et c'est In The Red qui s'occupe de le sortir. Est ce que c’est bien ? A vous de juger.