Yell Boss (Don Giovanni Records - 2014) // par Miguelito Lovelace
Bel ouvrage que ce quatrième album de ces Américains de Black Wine. Pas un de ceux qui vont révolutionner l'histoire du rock, mais un qui tournera agréablement sur votre platine. Originaires du New Jersey, ils utilisent avec succès la formule très connue du trio. Sans fioritures donc, mais avec un talent certain pour écrire des chansons que l'on peut classer sans trop se tromper dans une mouvance pop punk.
Selon leur label, qui n'a peur de rien, les Black Wine seraient le « supergroupe que Bob Mould et Kim Deal auraient formé s'ils avaient pu », et à l'écoute, on ne peut pas forcément leur donner tort. Avec une particularité notable : ils chantent tous, et ce, à tour de rôle (et même les trois ensembles sur Rime). Un autre élément appréciable, la jeune fille tient la batterie, et ça c'est pas si courant de nos jours.
Un voyage agréable donc, qui alterne moments de power pop et des morceaux plus catchy, alternance qui se renforce avec les voix différentes qui en fait au bout du compte un groupe plutôt original, et ce, dans le bon sens du terme !
Selon leur label, qui n'a peur de rien, les Black Wine seraient le « supergroupe que Bob Mould et Kim Deal auraient formé s'ils avaient pu », et à l'écoute, on ne peut pas forcément leur donner tort. Avec une particularité notable : ils chantent tous, et ce, à tour de rôle (et même les trois ensembles sur Rime). Un autre élément appréciable, la jeune fille tient la batterie, et ça c'est pas si courant de nos jours.
Un voyage agréable donc, qui alterne moments de power pop et des morceaux plus catchy, alternance qui se renforce avec les voix différentes qui en fait au bout du compte un groupe plutôt original, et ce, dans le bon sens du terme !