Basse Fidélité | Philippe Dumez
« JE ME SOUVIENS que je suis né l'année de la séparation du Velvet Underground mais je n'en souffre pas puisque je ne m'en rends compte que vingt ans plus tard, au moment de la reformation du groupe. »
S’il fallait un bouquin à lire, relire, feuilleter, dans lequel picorer, et à ranger sur la même étagère que les Greil Marcus, Chuck Klosterman, Nick Tosches et autres Nick Hornby, c’est bien « Basse Fidélité » de Philippe Dumez. Edition remixée et chapitrée de son premier ouvrage épuisé et introuvable « 39 ans et demi », "Basse Fidélité" est sorti le 19 novembre 2015 aux Editions Les Mots et le Reste.
« JE ME SOUVIENS de la carrière de Jonathan Richman relancée grâce à un film : Mary à tout prix dans lequel il joue à merveille son rôle de clown triste. Cette surexposition est heureusement sans conséquence sur le reste de sa carrière, consacrée à célébrer Van Gogh, Vermeer et les après-midi d’hiver à Boston. »
Compilation de 44 ans et demi de souvenirs musicaux - son premier vinyle acheté, ses concerts marquants, ses concerts manqués, les bacs d’occasions dans lesquels il tente de satisfaire ses collectionnites aigües, la mort des idoles – "Basse Fidélité" rassemble des fragments intimes ou populaires liés à la musique via 6 chapitres classés selon l’évolution des formats d’écoute, du vinyle au streaming. En résulte un vrai petit bijou de culture indie pop (dont le titre fait écho au roman de Nick Hornby, « Haute Fidélité ») écrit à la façon d’un inventaire perecquien ("Je me souviens") et dans lequel on pioche nos souvenirs, un par un.
« JE ME SOUVIENS du concert à l’issue duquel Ty Segall lance sa guitare dans le public et peine à la récupérer. Il lui faut faire plusieurs appels au micro pour que le coupable finisse par se dénoncer avant qu’on en arrive au stade de la fouille corporelle. Il faut dire qu’elle était difficile à planquer dans un jean slim. »
Philippe Dumez dédicacera "Basse Fidélité" ce samedi 16 janvier 2016 chez Ground Zero (Paris) :
https://www.facebook.com/events/163886107308666/
Les Mots et le Reste - 160 pages, 15 €
S’il fallait un bouquin à lire, relire, feuilleter, dans lequel picorer, et à ranger sur la même étagère que les Greil Marcus, Chuck Klosterman, Nick Tosches et autres Nick Hornby, c’est bien « Basse Fidélité » de Philippe Dumez. Edition remixée et chapitrée de son premier ouvrage épuisé et introuvable « 39 ans et demi », "Basse Fidélité" est sorti le 19 novembre 2015 aux Editions Les Mots et le Reste.
« JE ME SOUVIENS de la carrière de Jonathan Richman relancée grâce à un film : Mary à tout prix dans lequel il joue à merveille son rôle de clown triste. Cette surexposition est heureusement sans conséquence sur le reste de sa carrière, consacrée à célébrer Van Gogh, Vermeer et les après-midi d’hiver à Boston. »
Compilation de 44 ans et demi de souvenirs musicaux - son premier vinyle acheté, ses concerts marquants, ses concerts manqués, les bacs d’occasions dans lesquels il tente de satisfaire ses collectionnites aigües, la mort des idoles – "Basse Fidélité" rassemble des fragments intimes ou populaires liés à la musique via 6 chapitres classés selon l’évolution des formats d’écoute, du vinyle au streaming. En résulte un vrai petit bijou de culture indie pop (dont le titre fait écho au roman de Nick Hornby, « Haute Fidélité ») écrit à la façon d’un inventaire perecquien ("Je me souviens") et dans lequel on pioche nos souvenirs, un par un.
« JE ME SOUVIENS du concert à l’issue duquel Ty Segall lance sa guitare dans le public et peine à la récupérer. Il lui faut faire plusieurs appels au micro pour que le coupable finisse par se dénoncer avant qu’on en arrive au stade de la fouille corporelle. Il faut dire qu’elle était difficile à planquer dans un jean slim. »
Philippe Dumez dédicacera "Basse Fidélité" ce samedi 16 janvier 2016 chez Ground Zero (Paris) :
https://www.facebook.com/events/163886107308666/
Les Mots et le Reste - 160 pages, 15 €