Girls in Peacetime Want to Dance (Matador) // par Miguelito Lovelace
Belle & Sebastien, comme le nom ne l'indique pas, sont des Écossais de Glasgow, ayant sorti huit albums très pop depuis leur création en 1996. Vous vous en doutiez peut-être, mais le nom provient bien de la série TV qui a bercé l'enfance de nombre de quadragénaires français - oui celle avec le petit garçon (Sébastien) et le gros chien (Belle) qui étaient d'excellents candidats au malheur et à la tristesse.
C'est sans doute la raison pour laquelle B&S nous offrent une pop triste et assez mélancolique, même si pour ce neuvième album, ils ont voulu booster leur son en engageant comme producteur Ben H. Allen III, dont le travail pour Animal Collective devait leur ouvrir de nouvelles possibilités et les inciter à expérimenter.
C'est à moitié raté, même si certains titres semblent plus pêchus (comme Book of You, genre animal collective chanté par les Ronettes, ou Party Line qui pourrait prétendre au dancefloor) , on a l'impression globale d'entendre une pop music assez standard et sans grande originalité, pas désagréable pour autant. On pourra toujours invoquer le syndrome de fatigue chronique dont souffre le chanteur Stuart Murdoch pour expliquer le calme ambiant de ce disque, que les amateurs de rock peuvent zapper sans trop de risques.
C'est sans doute la raison pour laquelle B&S nous offrent une pop triste et assez mélancolique, même si pour ce neuvième album, ils ont voulu booster leur son en engageant comme producteur Ben H. Allen III, dont le travail pour Animal Collective devait leur ouvrir de nouvelles possibilités et les inciter à expérimenter.
C'est à moitié raté, même si certains titres semblent plus pêchus (comme Book of You, genre animal collective chanté par les Ronettes, ou Party Line qui pourrait prétendre au dancefloor) , on a l'impression globale d'entendre une pop music assez standard et sans grande originalité, pas désagréable pour autant. On pourra toujours invoquer le syndrome de fatigue chronique dont souffre le chanteur Stuart Murdoch pour expliquer le calme ambiant de ce disque, que les amateurs de rock peuvent zapper sans trop de risques.
Miguelito Lovelace