Out Of The Wild Come... (Soundflat records ) // Par Miguelito Lovelace
Le temps s’est arrêté. Nous sommes toujours en 1960, le rock’n’roll est le mode d’expression ultime contre les adultes, l’establishment, et toutes les autres conneries qui pourrissent la vie des kids. Il est aussi le seul moyen de ne pas se faire piéger par la vie que mènent tes parents, d’éviter de trimer comme un esclave dans une usine crasseuse. Guitare, basse, batterie, des couplets refrains et des paroles sur les filles qui veulent pas se laisser pécho aussi facile que ça…..
Si cela t’amènes la larme à l’œil et te fait des frissons dans l’échine, tu es mûr pour The Baron Four. Nés d’une foisonnante scène garage UK, ces jeunes là pondent un album dans le plus pur style sixties, à tel point qu’à la première écoute j’ai eu l’impression de tomber sur des inédits des Shadows Of Knight. L’album reprend les titres sortis l’année dernière en 45 tours, plus sept inédits. La formule est archi-connue mais d’une efficacité redoutable surtout avec la production qui fait vraiment époque, ou vintage comme on dit de nos jours.
La seule bonne question que je me pose du coup, est : auront-ils leur chance en dehors du seul cercle d’initiés ? On est vraiment dans la musique de niche, avec pour conséquence prévisible qu’ils vont devoir se cantonner aux sempiternels concerts avec des groupes garage psycho sixties etc… Ce qui me fait penser au marchand de fringues en bas de chez moi qui organise des concerts hip hop électro et qui voulait entendre de la musique garage… Je m’en vais lui faire écouter The Baron Four et qui sait ils viendront jouer en bas de ma rue ! Je rêve mais on peut toujours espérer une nouvelle explosion du RNR, on est toujours en 1960 avec The Baron Four…
Si cela t’amènes la larme à l’œil et te fait des frissons dans l’échine, tu es mûr pour The Baron Four. Nés d’une foisonnante scène garage UK, ces jeunes là pondent un album dans le plus pur style sixties, à tel point qu’à la première écoute j’ai eu l’impression de tomber sur des inédits des Shadows Of Knight. L’album reprend les titres sortis l’année dernière en 45 tours, plus sept inédits. La formule est archi-connue mais d’une efficacité redoutable surtout avec la production qui fait vraiment époque, ou vintage comme on dit de nos jours.
La seule bonne question que je me pose du coup, est : auront-ils leur chance en dehors du seul cercle d’initiés ? On est vraiment dans la musique de niche, avec pour conséquence prévisible qu’ils vont devoir se cantonner aux sempiternels concerts avec des groupes garage psycho sixties etc… Ce qui me fait penser au marchand de fringues en bas de chez moi qui organise des concerts hip hop électro et qui voulait entendre de la musique garage… Je m’en vais lui faire écouter The Baron Four et qui sait ils viendront jouer en bas de ma rue ! Je rêve mais on peut toujours espérer une nouvelle explosion du RNR, on est toujours en 1960 avec The Baron Four…