Walking Out (State Records) // Marlene Tissot
Pour remédier au coup de mou de l’automne et des petits matins frais qui te forcent à glisser ton corps encore bronzé dans des pulls qui grattent et des pantalons qui engoncent, le meilleur remède est sans doute de t’envoyer quotidiennement une bonne dose d’énergie musicale.
Et ça tombe bien, le quatuor british The Baron Four nous gratifie d’un troisième single (en tirage limité à 500 copies), une pépite explosive de rock garage lo-fi aux délicieux arômes sixties.
Le premier titre « Walking out » a quelque chose de sauvage, indiscipliné. Une cacophonie délicieuse, mélange de RnB, swing, punk et guitares braillardes. Un son saturé, une rythmique qui botte joyeusement le cul, une basse qui te gratte le diaphragme et une voix posant son timbre particulier dessus comme une cerise sur le gâteau. Deux minutes vingt-sept de concentré vitaminé ! Voilà, tu vas déjà mieux, t’es prêt à affronter le ciel gris.
Le second titre « Can’t find my way » vient calmer les ardeurs. Il ne faudrait pas que tu chopes la fièvre non plus, hein ! Un peu de douceur après la furie. Des guitares en trémolos, de beaux solos, une voix plus posée, des chœurs et une mélodie douce-amère avec un son toujours résolument rétro qui n’est pas sans rappeler les Kinks.
Bon, tu vas me dire, deux titres, c’est court. On ne tiendra pas une saison entière avec ça. Certes, mais rien ne t’empêche de réécouter ou découvrir leurs précédents singles ou leur premier LP (l’excellent « Out of the wild come… ») en attendant l’arrivée du prochain. Allez, on monte le volume et on ne fait pas la gueule ! C’est juste l’automne, ce n'est pas la fin du monde.
Et ça tombe bien, le quatuor british The Baron Four nous gratifie d’un troisième single (en tirage limité à 500 copies), une pépite explosive de rock garage lo-fi aux délicieux arômes sixties.
Le premier titre « Walking out » a quelque chose de sauvage, indiscipliné. Une cacophonie délicieuse, mélange de RnB, swing, punk et guitares braillardes. Un son saturé, une rythmique qui botte joyeusement le cul, une basse qui te gratte le diaphragme et une voix posant son timbre particulier dessus comme une cerise sur le gâteau. Deux minutes vingt-sept de concentré vitaminé ! Voilà, tu vas déjà mieux, t’es prêt à affronter le ciel gris.
Le second titre « Can’t find my way » vient calmer les ardeurs. Il ne faudrait pas que tu chopes la fièvre non plus, hein ! Un peu de douceur après la furie. Des guitares en trémolos, de beaux solos, une voix plus posée, des chœurs et une mélodie douce-amère avec un son toujours résolument rétro qui n’est pas sans rappeler les Kinks.
Bon, tu vas me dire, deux titres, c’est court. On ne tiendra pas une saison entière avec ça. Certes, mais rien ne t’empêche de réécouter ou découvrir leurs précédents singles ou leur premier LP (l’excellent « Out of the wild come… ») en attendant l’arrivée du prochain. Allez, on monte le volume et on ne fait pas la gueule ! C’est juste l’automne, ce n'est pas la fin du monde.