Chronique musicale (réédition, 2020)
Originaire de Leeds et formé à la fin des années 80 par le bassiste-chanteur Ian MASTERS, le groupe PALE SAINTS prêchait la bonne parole du rock indépendant. Ils n’eurent cependant pas l’opportunité d’être autant dans la lumière que leurs contemporains The HOUSE OF LOVE ou que la vague du shoegazing portée par MY BLOODY VALENTINE, RIDE ou même SLOWDIVE.
Saints rockers indie au teint blafard, le groupe portait donc bien son nom. 30 ans après la sortie de The comforts of madness, le label 4AD represse ce premier album dans une version enrichie de maquettes et de sessions chez le regretté John PEEL. En espérant une seconde jeunesse à ce groupe méconnu voire mésestimé, replongeons-nous dans sa musique où, sur des rythmiques tendues et parfois tribales (comme sur le premier album des FEELIES), la mélancolie vocale est portée par un jeu de guitares évoquant Johnny MARR (Way the world is).
PALE SAINTS. The comforts of madness (4AD, rééd. 2020)
Rock à la Casbah #697
Saints rockers indie au teint blafard, le groupe portait donc bien son nom. 30 ans après la sortie de The comforts of madness, le label 4AD represse ce premier album dans une version enrichie de maquettes et de sessions chez le regretté John PEEL. En espérant une seconde jeunesse à ce groupe méconnu voire mésestimé, replongeons-nous dans sa musique où, sur des rythmiques tendues et parfois tribales (comme sur le premier album des FEELIES), la mélancolie vocale est portée par un jeu de guitares évoquant Johnny MARR (Way the world is).
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(06 mai 2020)PALE SAINTS. The comforts of madness (4AD, rééd. 2020)
Rock à la Casbah #697