Cheap Diamonds (Retard Records) // par Laetitia Lacour
Burnside Eleven, un solitaire serti d’un diamant brut !
Avis aux amateurs de tripes, Burnside Eleven devrait vous les remuer sérieusement. 10 bonnes raisons de s’ouvrir les entrailles :
I - À l’écoute, on pourrait penser qu’ils sont 10 sur scène mais Burnside XI assure seul batterie, guitare et chant dans la plus pure tradition du one-man-band.
II - Burnside XI, c’est le bébé de Théophile, un parisien de 21 ans qui a commencé en 2009. Oui, 21 ans ! Oui, il y a 5 ans. Oui, faites le calcul, additionnez, soustrayez, multipliez, le résultat sera toujours le même : celui qui se surnomme Weird Kid est un génie.
III - Après quelques EP sortis chez Black Totem Records (label collectif qu’il a monté avec d’autres groupes) une cassette de 9 titres dingues, «Cheap Diamonds », est sortie en décembre 2013 sur le talentueux label Retard Records.
IV - Parce que la famille c’est super important : Burnside XI enregistre en DIY avec son daron.
V - Burnside XI est l’auteur d’un garage blues ultra réverbéré et saturé qui convoque nos instincts les plus primaires. On vous laisse décider lesquels.
VI - C’est brute (Ladykiller), électrique (Obsession song), abrasif (Old morpheen moon), nerveux (Rotten flesh), caverneux (The bleach experiment), plaintif (Serotonin blues), sauvage (Runaway cat) déchiré (For a little while) et poétique (Lovely Lovers) : le tout est très manichéen, aussi beau que sale.
VII - Burnside XI compte dans ses références Bob Log, Beatman, Ty Segall. Pas dégueu.
VIII - Parce que selon une interview accordée au Vicious Soul Festival (où il jouait aux côtés de Shannon & The Clams, Feeling of Love & co début juin à Bordeaux), il sera de retour en novembre avec de nouvelles compos aux côtés d’un batteur. Prometteur.
IX - Parce que si vos poils ne se sont pas hérissés sur les 9 titres sus-cités, ils devraient se dresser comme des i voire changer de couleur en écoutant et regardant « She walks » accompagné des images de Repulsion de Roman Polanski avec Catherine Deneuve. Sublime.
X - Parce que Burnside XI flirte avec la perfection tout simplement.
Avis aux amateurs de tripes, Burnside Eleven devrait vous les remuer sérieusement. 10 bonnes raisons de s’ouvrir les entrailles :
I - À l’écoute, on pourrait penser qu’ils sont 10 sur scène mais Burnside XI assure seul batterie, guitare et chant dans la plus pure tradition du one-man-band.
II - Burnside XI, c’est le bébé de Théophile, un parisien de 21 ans qui a commencé en 2009. Oui, 21 ans ! Oui, il y a 5 ans. Oui, faites le calcul, additionnez, soustrayez, multipliez, le résultat sera toujours le même : celui qui se surnomme Weird Kid est un génie.
III - Après quelques EP sortis chez Black Totem Records (label collectif qu’il a monté avec d’autres groupes) une cassette de 9 titres dingues, «Cheap Diamonds », est sortie en décembre 2013 sur le talentueux label Retard Records.
IV - Parce que la famille c’est super important : Burnside XI enregistre en DIY avec son daron.
V - Burnside XI est l’auteur d’un garage blues ultra réverbéré et saturé qui convoque nos instincts les plus primaires. On vous laisse décider lesquels.
VI - C’est brute (Ladykiller), électrique (Obsession song), abrasif (Old morpheen moon), nerveux (Rotten flesh), caverneux (The bleach experiment), plaintif (Serotonin blues), sauvage (Runaway cat) déchiré (For a little while) et poétique (Lovely Lovers) : le tout est très manichéen, aussi beau que sale.
VII - Burnside XI compte dans ses références Bob Log, Beatman, Ty Segall. Pas dégueu.
VIII - Parce que selon une interview accordée au Vicious Soul Festival (où il jouait aux côtés de Shannon & The Clams, Feeling of Love & co début juin à Bordeaux), il sera de retour en novembre avec de nouvelles compos aux côtés d’un batteur. Prometteur.
IX - Parce que si vos poils ne se sont pas hérissés sur les 9 titres sus-cités, ils devraient se dresser comme des i voire changer de couleur en écoutant et regardant « She walks » accompagné des images de Repulsion de Roman Polanski avec Catherine Deneuve. Sublime.
X - Parce que Burnside XI flirte avec la perfection tout simplement.