
jour 3 - MGMT // par Laetitia Lacourt
Jour 3 – MGMT
Pénultième concert avant la clôture du festival, MGMT passe devant un public qui en globalement plein les pattes après trois jours à arpenter les collines du Château de Valmy. Pas réputés pour faire des shows explosifs, Ben Goldwasser et Andrew VanWyngarden entourés de leurs quatre musiciens manquent peut-être d’un peu de folie en festival mais n’en restent pas moins magiques. Et bon. Tout simplement bons.
Avec un set largement dominé par le mémorable « Oracular Spectacular », les MGMT ouvrent direct sur « Time to pretend » et sa mythique intro pour nous faire gravir des sommets. Suivent la plus psyché « Instropection », la douce « The youth » et les plus électro « Cool Song NO.2 » et « Electric feel » : aidées par la tramontane, elles visent à nous percher rapidement dans les étoiles. Chose faite avec « Week-end wars » et sa basse fascinante parfaite pour tutoyer les cieux et nous enfumer de ces petits relents que seul un Bowie a su autrefois nous faire respirer. On regrette un peu la longue « Siberian Breaks » qui mange une bonne partie de la prestation mais le tubesque « Kids » remet tout le monde d’accord même si c’est pas facile de sautiller avec une pinte à la main. Le public se parsème sur « Alien Days », extrait de leur album éponyme sorti l’année dernière, titre planant comme la poussière qui permettra au groupe sans voyelles de jouer les marchands de sable.
Pénultième concert avant la clôture du festival, MGMT passe devant un public qui en globalement plein les pattes après trois jours à arpenter les collines du Château de Valmy. Pas réputés pour faire des shows explosifs, Ben Goldwasser et Andrew VanWyngarden entourés de leurs quatre musiciens manquent peut-être d’un peu de folie en festival mais n’en restent pas moins magiques. Et bon. Tout simplement bons.
Avec un set largement dominé par le mémorable « Oracular Spectacular », les MGMT ouvrent direct sur « Time to pretend » et sa mythique intro pour nous faire gravir des sommets. Suivent la plus psyché « Instropection », la douce « The youth » et les plus électro « Cool Song NO.2 » et « Electric feel » : aidées par la tramontane, elles visent à nous percher rapidement dans les étoiles. Chose faite avec « Week-end wars » et sa basse fascinante parfaite pour tutoyer les cieux et nous enfumer de ces petits relents que seul un Bowie a su autrefois nous faire respirer. On regrette un peu la longue « Siberian Breaks » qui mange une bonne partie de la prestation mais le tubesque « Kids » remet tout le monde d’accord même si c’est pas facile de sautiller avec une pinte à la main. Le public se parsème sur « Alien Days », extrait de leur album éponyme sorti l’année dernière, titre planant comme la poussière qui permettra au groupe sans voyelles de jouer les marchands de sable.