Meatbodis (In the Red) // par Matt.C
Les quatre gars dans le vent (enfin plutôt dans la tempête) de Meatbodies débarquent sur la scène musicale internationale avec leur premier opus éponyme, prêt à soulever des montagnes. Fédérés par un Chad Ubovich débordant d'énergie, connu pour avoir tenu la basse du power trio FUZZ avec Ty Segall.
Malgré une première impression de déjà vu, ou tout de moins déjà entendu, le groupe sait tout de même, au fil des morceaux, imposer sa propre identité et son ambition de démontrer que le Garage, le Psyché, et même le Punk, ont toujours leur mot à dire.
Après 59 secondes d'une intro dont je vous laisserez juger l'utilité (ou non) le « désordre » commence avec un Disorder percutant, Punk à souhait, ouvrant le chemin à une déferlante de riffs (« Mountain » « Gold ») et mélodies psyché (« Dark Road » « Plank ») Cet album se présente déjà comme un incontournable de cette fin d'année, à écouter aussi fort que possible.
Malgré une première impression de déjà vu, ou tout de moins déjà entendu, le groupe sait tout de même, au fil des morceaux, imposer sa propre identité et son ambition de démontrer que le Garage, le Psyché, et même le Punk, ont toujours leur mot à dire.
Après 59 secondes d'une intro dont je vous laisserez juger l'utilité (ou non) le « désordre » commence avec un Disorder percutant, Punk à souhait, ouvrant le chemin à une déferlante de riffs (« Mountain » « Gold ») et mélodies psyché (« Dark Road » « Plank ») Cet album se présente déjà comme un incontournable de cette fin d'année, à écouter aussi fort que possible.
Matt.C