Understanding! (Soundflat Rds) // par B.Tappaz
The Gentlemen's Agreements est un super band. C'est aussi est surtout un groupe de potes de longues dates sillonant avec leur multiples groupes les scènes gronobloises et lyonnaises avec Alexandre Besson à la batterie (Booboos, Swan fever, Fuggets, Towerbrown), Vincent Vidor a.k.a Van Gogo à la guitare (Les Arondes, Les Fuggets, Les Mammies), Barnabe Mons au chant (Sheetah & les Weissmuller), Alain Chapot à la basse (Boolings, Penelope) et Denis Troufleau à l'orgue (MR Day, Hawai Men).
Je m’attendais à un super 1er album de la part de ce super-band. Mais celui-ci est encore mieux que je ne l’escomptais ! Le single qui était sorti il y a déjà quelques temps était très savoureux et alléchant, mais ce LP le surpasse largement !!!
12 titres hyper sexy & excitants qui balancent bien des hanches où l’orgue Hammond et la voix du chanteur font merveille. Mais rien de cela ne serait possible sans une rythmique impeccable et un guitariste qui tire le max de sa Fuzz et autres pédales d’effets sans jamais trop déborder du trait défini de ces belles chansons.
La formule (Freakbeat / Mod / Organ / Garage / R&B / 60’s Pop) nous ramène vers ce que les Prisoners ont fait de meilleur et enterre la vaguelette des baby revivaliste Rhythm & Blues actuels.
Du bonheur, de la joie de vivre, de la musique pour faire bouger les fesses des filles sur la piste de danse… que demander de plus à un tel disque ? Rien, tout ce qui reste à faire c’est de le repasser sans cesse.
Je m’attendais à un super 1er album de la part de ce super-band. Mais celui-ci est encore mieux que je ne l’escomptais ! Le single qui était sorti il y a déjà quelques temps était très savoureux et alléchant, mais ce LP le surpasse largement !!!
12 titres hyper sexy & excitants qui balancent bien des hanches où l’orgue Hammond et la voix du chanteur font merveille. Mais rien de cela ne serait possible sans une rythmique impeccable et un guitariste qui tire le max de sa Fuzz et autres pédales d’effets sans jamais trop déborder du trait défini de ces belles chansons.
La formule (Freakbeat / Mod / Organ / Garage / R&B / 60’s Pop) nous ramène vers ce que les Prisoners ont fait de meilleur et enterre la vaguelette des baby revivaliste Rhythm & Blues actuels.
Du bonheur, de la joie de vivre, de la musique pour faire bouger les fesses des filles sur la piste de danse… que demander de plus à un tel disque ? Rien, tout ce qui reste à faire c’est de le repasser sans cesse.