Meatball (Buddy Records) // Par Kelly Bonneville
Au son de « Buddy » résonnent ces soirées passées dans un canapé à décapsuler un nombre des plus respectables de bières en compagnie de vos meilleurs amis. Le genre de soirée consommée jusqu'à l'aube, quelques bons morceaux en toile de fond. Et bien Buddy Records c'est un peu ça, mais c'est surtout le projet de trois copains, Viktor, Victor et Charles. Avec un tête de proue un chien (dont la race reste encore à déterminer) donnant son nom au jeune label.
Après avoir écumé les salles de concert, l'aventure démarre en septembre 2015. Dans la veine do it yourself, ils réalisent un split et deux compiles au format cassette avec comme seule gouverne « de l'amour et de la découverte ».
La dernière venue : Meatball sortie en janvier dernier est armée de groupes des quatre coins de l'Hexagone (et plus) qui sauront vous préparer à la sauvagerie du week-end et ce à coups de guitares énervées.
Les Flashers débutent les hostilités avec Ski, donnant déjà envie d'agiter ses membres dans tous les sens, menés tambour battant par une voix d'adolescent effronté. Reprise de flambeau par trois groupes venus de la capitale, Los Vvs en connexion avec les précédents rennais, Young Like Old Men et Shake Shake Bolino ralentissant l'entrain nerveux qui s'était déjà installé.
Highway de Kaviar Special et Double Cheese avec Tascam 3 reprennent l'énergie de Meatball à bras le corps avec une ardeur vrombrissante et échauffée. Vient ensuite une pause sombre imposée par les marseillais de Quetzal Snakes avec le titre Brutal Beach.
La diversité n'étant pas la moindre des qualités des Buddy, et ne voulant pas se revendiquer comme un label exclusivement garage, un morceau pop vient calmer la fougue de chacune de leur compile. C'est Hawaï Burger qui s'y colle et dompte la fièvre des précédents morceaux ; on louvoie ainsi sous le ciel bleu et bucolique de Back To France. Dernière sortie de route signée par l'ovni Combo Koedijk, groupe néerlandais totalement détraqué.
Merci Buddy Records d'embrasser ce qu'il se fait de bon dans le rock français et d'explorer des scènes plus exotiques, nous plongeant tête la première au milieu de groupes saturés de talent.
Après avoir écumé les salles de concert, l'aventure démarre en septembre 2015. Dans la veine do it yourself, ils réalisent un split et deux compiles au format cassette avec comme seule gouverne « de l'amour et de la découverte ».
La dernière venue : Meatball sortie en janvier dernier est armée de groupes des quatre coins de l'Hexagone (et plus) qui sauront vous préparer à la sauvagerie du week-end et ce à coups de guitares énervées.
Les Flashers débutent les hostilités avec Ski, donnant déjà envie d'agiter ses membres dans tous les sens, menés tambour battant par une voix d'adolescent effronté. Reprise de flambeau par trois groupes venus de la capitale, Los Vvs en connexion avec les précédents rennais, Young Like Old Men et Shake Shake Bolino ralentissant l'entrain nerveux qui s'était déjà installé.
Highway de Kaviar Special et Double Cheese avec Tascam 3 reprennent l'énergie de Meatball à bras le corps avec une ardeur vrombrissante et échauffée. Vient ensuite une pause sombre imposée par les marseillais de Quetzal Snakes avec le titre Brutal Beach.
La diversité n'étant pas la moindre des qualités des Buddy, et ne voulant pas se revendiquer comme un label exclusivement garage, un morceau pop vient calmer la fougue de chacune de leur compile. C'est Hawaï Burger qui s'y colle et dompte la fièvre des précédents morceaux ; on louvoie ainsi sous le ciel bleu et bucolique de Back To France. Dernière sortie de route signée par l'ovni Combo Koedijk, groupe néerlandais totalement détraqué.
Merci Buddy Records d'embrasser ce qu'il se fait de bon dans le rock français et d'explorer des scènes plus exotiques, nous plongeant tête la première au milieu de groupes saturés de talent.