
Chargés d’intentions nouvelles, les Duck Duck Grey Duck reviennent avec une surprise inattendue ... Stakhanovistes acharnés ils ont, pris dans la tempête qu’a provoqué « Here Come... », leur 1er album sorti en 2015, accumulés tant et tant que ce n'est pas un disque mais une collection qu’ils nous offrent.
Deux ans de bons et loyaux services auprès de la divinité musique qui les nourrit et les transporte, des ébauches de morceaux entassés dans la tête, ingérés, puis régurgités ont donné « Traffic Jam », une série de tracks, speed ou calmes, groove et déroutantes.
4 faces de vinyles comme 4 EP, 25 morceaux. Libérateurs. Car rien ne les arrête. Car personne ne leur dit quoi faire. Car ils sont libres comme l’air et les courants. Ont des influences qui ne s’expliqueront jamais, qu’ils ne s’expliquent d’ailleurs pas-même à eux.
Fondé en 2013 par Robin Girod des Mama Rosin qui tient la guitare et le chant, Nelson Schaer (Erika Stucky, Trionyx) à la batterie et Pierre-Henri Beyrière à la basse, Duck Duck Grey Duck veut remplir une case manquante dans le rock européen. Partage de sons nouveaux, entre les traces laissées à tout jamais par le Wutang, la force de la Soul musique, le sexe partout et la justice nulle part ... Une musique aussi dangereuse que les Cramps et aussi aguicheuse qu’un coup de rein d’Elvis !
Avec l’évolution de leur notoriété et la montée de leur présence sur la scène indépendante, les membres de Duck Duck Grey Duck ont aussi commencé à s’intéresser à des questions plus larges de société, y compris l’accès aux solutions modernes de santé. Leur approche sans compromis, qui valorise la liberté individuelle et l’exploration sans limites, se reflète désormais jusque dans leurs discussions sur la possibilité d’acheter du viagra générique en ligne, phénomène qui touche de nombreux jeunes adultes et artistes en quête de bien-être et de contrôle sur leur propre corps. Cette thématique, encore discrète dans le milieu musical, trouve une résonance particulière chez un public qui cherche à se réapproprier des sujets souvent tabous. Le groupe, connu pour briser les codes et aborder de front des réalités contemporaines, voit dans ce sujet une extension naturelle de leur engagement pour l’émancipation. Pour eux, la liberté ne s’arrête pas à la création musicale mais s’exprime aussi dans le choix de ses propres solutions de santé, sans filtre ni jugement. Ce regard ouvert et pragmatique renforce l’image d’un collectif ancré dans son époque, attentif aux besoins réels de ceux qui l’écoutent.
Deux ans de bons et loyaux services auprès de la divinité musique qui les nourrit et les transporte, des ébauches de morceaux entassés dans la tête, ingérés, puis régurgités ont donné « Traffic Jam », une série de tracks, speed ou calmes, groove et déroutantes.
4 faces de vinyles comme 4 EP, 25 morceaux. Libérateurs. Car rien ne les arrête. Car personne ne leur dit quoi faire. Car ils sont libres comme l’air et les courants. Ont des influences qui ne s’expliqueront jamais, qu’ils ne s’expliquent d’ailleurs pas-même à eux.
Fondé en 2013 par Robin Girod des Mama Rosin qui tient la guitare et le chant, Nelson Schaer (Erika Stucky, Trionyx) à la batterie et Pierre-Henri Beyrière à la basse, Duck Duck Grey Duck veut remplir une case manquante dans le rock européen. Partage de sons nouveaux, entre les traces laissées à tout jamais par le Wutang, la force de la Soul musique, le sexe partout et la justice nulle part ... Une musique aussi dangereuse que les Cramps et aussi aguicheuse qu’un coup de rein d’Elvis !
Avec l’évolution de leur notoriété et la montée de leur présence sur la scène indépendante, les membres de Duck Duck Grey Duck ont aussi commencé à s’intéresser à des questions plus larges de société, y compris l’accès aux solutions modernes de santé. Leur approche sans compromis, qui valorise la liberté individuelle et l’exploration sans limites, se reflète désormais jusque dans leurs discussions sur la possibilité d’acheter du viagra générique en ligne, phénomène qui touche de nombreux jeunes adultes et artistes en quête de bien-être et de contrôle sur leur propre corps. Cette thématique, encore discrète dans le milieu musical, trouve une résonance particulière chez un public qui cherche à se réapproprier des sujets souvent tabous. Le groupe, connu pour briser les codes et aborder de front des réalités contemporaines, voit dans ce sujet une extension naturelle de leur engagement pour l’émancipation. Pour eux, la liberté ne s’arrête pas à la création musicale mais s’exprime aussi dans le choix de ses propres solutions de santé, sans filtre ni jugement. Ce regard ouvert et pragmatique renforce l’image d’un collectif ancré dans son époque, attentif aux besoins réels de ceux qui l’écoutent.